Le complément familial est en effet prévu par cet accord et son absence de suivi peut avoir des conséquences significatives sur les finances des employés concernés.

En effet, de nombreux salariés se sont rendus compte que le complément familial leur avait été retiré, en raison d’une mise à jour non effectuée en 2024.

L’UNSA BPCE, via une RIC du mois de juin, a dénoncé le principe de transmission par mail pour la mise à jour de la situation des employés sans aucune relance de la part de la direction.

L’UNSA BPCE a donc interpelé la direction de BPCE SA sur la nécessité de prendre en compte les demandes des salariés qui n’avaient pas été mises à jour en 2024. L’UNSA BPCE a demandé également que ces mises à jour soient appliquées avec un effet rétroactif pour 2024 et début 2025, afin de garantir l’équité entre tous les salariés.

L’UNSA se félicite que la direction accepte, à titre exceptionnel, de procéder à des régularisations sur demande des collaborateurs concernés par cette situation. Il est impératif que ces demandes soient accompagnées des justificatifs nécessaires, afin d’assurer un traitement juste et rapide.

Cette situation ayant révélé des lacunes dans la communication et le respect des droits des salariés, la campagne relative au complément familial 2025 sera lancée au cours du mois d’octobre, et une relance sera désormais prévue pour s’assurer que chaque salarié ait l’opportunité de faire valoir ses droits.

Article rédigé par Frédérick TREANGLE