Ascenseurs : les langues se délient...

, par  UNSA BPCE

Sur les deux derniers jours, nous avons reçu pas moins de trois témoignages, dont deux particulièrement glaçants...

Témoignage n° 1 : un salarié ayant pris l’ascenseur au 27eme étage a vécu une descente en chute libre jusqu’au 2ème étage avec un freinage d’urgence, puis une remontée à très grande vitesse jusqu’au 34ème étage... juste avant une deuxième chute libre ! "Heureusement, je ne suis pas cardiaque" nous a-t-il déclaré. Oui, heureusement, en effet ...

Témoignage n° 2 : l’ascenseur dans lequel se trouvaient deux salariés a émis un message d’alerte "appel d’urgence, descendez au prochain arrêt."
Fallait-il croire ou pas à cette alerte ? Apparemment, ce serait assez fréquent, l’un des deux avait déjà eu droit à une alerte de ce genre...
Ils ne sont donc pas descendus à l’arrêt suivant, d’autres collègues sont montés et ont été prévenus... Mais n’ont pas tenu compte non plus du message !
Tout le monde est bien arrivé à destination, heureusement là encore.. Mais si le message d’alerte n’avait pas résulté d’un dysfonctionnement ?

Témoignage n° 3
Un trajet effectué seul, du rez-de chaussée au 27ème étage, dans une cabine plongée dans le noir, ça vous tente ?

Le pire, le plus inquiétant c’est que RIEN ne semble avoir été réglé depuis 6 mois. Ces trajets dans le noir sont fréquents depuis l’emménagement dans la tour Est, mais continuent de se produire.
Que fait la direction ? Avec quels résultats ?
Ce sont ces questions (et bien d’autres) que l’UNSA BPCE posera lors de la réunion de la CSSCT de jeudi prochain...

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